Catégorie : Constructions Collectives

  • Cabaret Fénisse

    Établissement certainement situé au coin des rues du 23 Aout et de Fleury, il était signalé présent en 1836, sa présence avant est certaine.

    Dans les villages ruraux de France , la consommation de vin fabriquée avec les vignes des paroisses, était chose commune, simulant pour les travailleurs de force, les calories présentes étaient rapidement restituées par évaporation de la sueur produite en quantité durant les longues heures de travail été comme hiver.

    lettre de Fenisse Honoré à Charles Eustache de Barbizon à Paris 1846.

    une correspondance entre Charles Eustache, né à Paris le 6 novembre 1820 et mort à Cherbourg le 10 février 1870, est un peintre de la Manche.

    EUSTACHE, François Jonas (1778 – 1838)
    François Jonas Eustache est né le 5 février 1778 au Havre. Il sort de l’École Polytechnique pour entrer à l’École des Ponts et Chaussées le 17 février 1800. Il est nommé Ingénieur ordinaire le 28 juillet 1802. Il a été employé à Cherbourg en qualité d’Ingénieur des travaux maritimes jusqu’en mars 1809. Il est ensuite employé à Dieppe en tant qu’Ingénieur ordinaire des Ponts et Chaussées pendant trois ans. Il est nommé Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées par décret du 7 février 1812, il est alors employé en cette qualité à Bordeaux jusqu’à novembre 1813. Il rejoint alors le département de Seine et Marne, au même titre. Le 23 janvier 1814, il a été mis à la disposition du ministre de la Guerre et a servi en qualité de Colonel du Génie jusqu’au 30 mars suivant. Ses services militaires lui ont valu d’être nommé Chevalier de la Légion d’honneur, par ordonnance royale du 24 octobre 1814. Il décède à Aix-les-Bains en 1839

    Fénisse Honoré, 31 ans et sa femme Taboureau Louise 34 ans, sont au commande de cet établissement, ainsi qu’en 1841. En 1846, on le retrouve marié avec Adèle Chauveau qui décède malheureusement le 9 juin 1848, Il se remarie le 14 Mars 1849 à Saint Sauveur avec Sophie Hapoline Mollard et nous les trouvons encore comme tenancier du cabaret en 1851, par contre en 1856 nous trouvons Vannier Joseph et Leroy Élisabeth possible successeurs du cabaret. En 1861 autre changement avec l’arrivée de Fouché Jacques et Brezard Louise, après quoi le cabaret disparait en tant d’établissement public.

  • Alexandra Hôtel

    Par la constitution de la société Blanck et Lombardo , crée par messieurs Blanck et Lombardo, tous deux hôteliers le 21 Novembre 1898, dans la maison Giaume, située à l’angle du Boulevard du Nord et de l’avenue Saint-Charles, pour une durée de dix huit années avec une valeur de 150.000 francs, chacun pour moitié comme diffusé par annonce dans le Journal de Monaco, l’établissement hôtel et restaurant Alexandra Hôtel prenait son envol dans la principauté.

    Les affaires n’étant pas se quelles devaient être Lombardo décide de vendre sous condition suspensive ces parts à son associé le 26 Novembre 1901. Le 19 décembre la société est dissoute devant notaire par la résolution de la clause suspensive. Pas d’entente entre les gérants, mauvaise conjoncture, gestion, voir un concurrent inapproprié en terre monégasque!

    Par suite de quoi le 24 aout 1903 une annonce nous apprend que sur demande du sieur Giaume propriétaire des murs, est procéder à une vente aux enchères publiques du dit fond de commerce pour une mise à prox de 60.000 francs. Le 29 Décembre de la même année une annonce fait état d’une somme de 31.647 francs provenant de la vente de l’alexandra hôtel pour régler à l’amiable sur la répartition des créances de la dite société.

    Apparait alors notre E.J. Schaller de Barbizon, par un article sur le Journal de Monaco, en date du 20 mars 1905 il se rend acquéreur de cette établissement que lui cède le sieur Etienne Fleury. Une information dans le journal l’Abeille de Fontainebleau incite les nombreux visiteurs et clients à Barbizon à leurs faire savoir que M. Schaller ouvre à Monaco l’Alexandra hôtel. Mais comme le dit le proverbe, jamais deux sans trois! Et advint se qui devait arriver, une vente aux enchères publiques sur saisie aura lieu le 30 novembre 1909 à la requête de monsieur Thérésius Giaume, marchand-boucher et propriétaire à Monaco, pour une mise à prix de 65.000 francs. ainsi se termine cette aventure méditerranéenne.

  • L’ Aviation à Barbizon

    L’aviation à Barbizon est une vieille histoire, puisque Maurice Farman se fit construire une demeure avec parc et maison de gardien à l’entrée du village entre le Chemin de la Messe de Samois et la rue du Champs Gauthier.

    la première guerre mondiale fût l’occasion de la venue de l’aviation militaire naissante vers la Roches Moreau.

    Après des recherches sur le site du Ministère des armées aucunes informations n’a été trouvées.


    Avec la construction de la demeure de Maurice Farman la venue régulière d’un aviateur devient l’attraction de tout les jeunes et les autres aussi, un ancien du village raconte; c’était la course pour arriver le premier devant l’avion, il avait la responsabilité de le garder loin des mains de tous en échange d’une pièce par Maurice Farman qui venait passer du temps dans sa maison de campagne pour après repartir vers son terrain d’essais et d’entrainement de Brétigny, d’où il reprenait sa voiture pour rentrer voir ses usines à Billancourt puis chez lui à Paris .

    La propriété existe toujours mais morcelée, la maison de Maurice Farman a été réduite, la maison du gardien a été transformée; Un article site la construction d’un terrain d’aviation publique, mais aucune suite ne fût donnée de sérieux.

    un article complémentaire sur le site de l’histoire de Chailly donne d’autres information sur ce thème. cliquez

  • Les Charmettes

    La saga d’une famille Suisses à Barbizon les Schaller

    Les Schaller , famille originaire de Suisse, sont venu s’établir à Barbizon à la suite du décès d’un autre Suisse , Karl Bodmer, mort à Paris en 1893. L’arrivée du tramway de la gare de Melun y est pour quelque chose. L’établissement devient une référence pour Barbizon, déjà avec une voiture de maitre pour les clients aisés entre la gare de Melun ou Fontainebleau et l’établissement.

    Le tramway lui amenait entre 2000 et 3000 visiteurs dans les meilleurs moments d’avant guerre (1914).

    Situation en 1910

    Schaller Emile chef de ménage ch paris         1860 hôtelier patron

    Calleret Marguerite femme ch paris         1865 hôtelière patron

    Schaller Georges enfant ch paris         1891 sans pro.  

    Schaller Justin frère ch paris         1869 employé  

    Triquet Clara employée f           1871 domestique  

    Rameau Armand employé f           1878 domestique  

    Bellemain Madeleine employée f          1873 domestique  

    Colline Maurice employé f           1868 domestique

    Carte postale de 1901 de Suisse
    Carte postale de 1906 de Suisse

    Situation en 1906

    Schaller Emile Chef de ménage Suisse Paris 1860 hôtelier patron
    Schaller Marguerite femme Suisse Paris 1850 Hôtelière M.Schaller
    Schaller Georges fils Suisse Paris 1891
    Mallet Emile beau-frère F Châtres 1847 maitre-hôtel M.Schaller
    Eyger Friesba domestique Suisse Longnan Suisse 1885 domestique d’hotel M.Schaller
    Vasseli Céline domestique Italienne Coni Piémont 1873 domestique d’hotel M.Schaller
    Hpuilery Alfred domestique F Neuvy en baune (Côte d’or) 1870 journalier M.Schaller
    Oreiln Alice domestique F Paris 1895 domestique d’hotel M.Schaller

    Arrivée du train devant les Charmettes

    voir un autre article sur la famille Schaller , l’aventure Monégasque http://www.grappilles.fr/index.php/2023/11/10/alexandra-hotel/

  • La Boulangerie

    Le pain, aliment premier cultivé depuis la sédentarisation de l’humanité est présent partout sous toutes formes. En France le pain est fabriqué par transformation de la Farine obtenue par pression sur une meule en pierre avec le blé ou autres céréales suivant les régions de production.

    Barbizon comme toutes les paroisses avant la révolution était sous la coupe des moulins banaux pour la productions de la farine, les paysans payaient pour cela, le pain était cuit dans les fours aussi collectifs, le pain était généralement de grande taille et cuits pour plusieurs semaines de façon à ne pas payer trop de droit. Avec la révolution le pain devient une denrée commerciale seul les paysans produisaient leurs pains grâce à des fours dans les fermes. Puis l’augmentation de la population et sa spécialisation dans les campagnes à fait que les boulangeries se sont établies dans les villages.

    Barbizon n’y a eut accès que très peu de temps avant sa libération de *Chailly en bière en 1903.

    1886

    Alaurent Marc 45 Fr boulanger chef de ménage
    Creteur Léontine 36 Fr marchande épicière Femme
    Alaurent Amélie 12 Fr Sans Profession fille
    Alaurent Gaston 6 Fr Sans Profession Fils
    Alaurent Charles 5 Fr Sans Profession Fils

    Néme Adolphe 19 Fr boulanger fils.

    entre cette date et 1901 rien peut être que la boulangerie n’était pas assez rentable disparait .

    1901

    Lamirault Gustave 1858 f chef de ménage boulanger patron
    delandre Cécile 1867 f femme boulanger patron
    Fillion François 1873 f employé boulanger

    1906

    il semble y avoir deux lieux de livraison de pain à cette date:

    Binet Georges 1885 Solers F Chef de ménage boulanger patron
    Binet Cécile 1889 Grez sur Loing F femme boulangère M. Binet
    Commiaux louis 1874 Besançon (Doubs) F ouvrier ouvrier boulanger M. Binet


    Fillion Louis François 1874 Barbizon F Chef de ménage boulanger

    1921

    Demornay Lucien 1888 Cély en bière chef de ménage boulanger patron
    Albert Paul 1905 Barbizon apprenti boulanger M. Demornay

    courrier pour un employé à la Boulangerie de Barbizon

    changement de gérance le 12 mars 1928 Orset jean Lucien né le 7 novembre 1879 à École (Hte Savoie) boulanger grande rue Barbizon cession de commerce boulangerie exploiter avant par Cajon, Raymond jusqu’au 29 février 1928.

    information importante le 19 février 1931 Orset jean Lucien né le 7 novembre 1879 à École (Hte Savoie) boulanger grande rue Barbizon cession de commerce boulangerie pâtisserie céder le 1 février à Masson Charles Alexandre

    compléments d’information le 19 février 1931 Masson Charles Alexandre né le 9 octobre 1896 à Reims boulanger grande rue Barbizon changement de gérance boulangerie, pâtisserie exploiter par Orset jusqu’à cette date

    Nouveau changement le 14 mai 1934 Masson Charles Alexandre né le 9 octobre 1896 à Reims boulanger grande rue Barbizon cession de commerce boulangerie, pâtisserie
    information sur le repreneur le 4 mai 1934 Besnard Honore né le 5 avril 1899 à Paris boulanger changement de commerce boulangerie, pâtisserie

    information sur la reprise du commerce le 2 janvier 1939 Robert Henri né le 13 juillet 1900 à Ladugnac (Hte vienne) boulanger reprise de commerce commerce de boulangerie jusqu’à ce jour par Besnard honoré 20 décembre 1938.

  • Les Charmettes

    Hôtel restaurant de Barbizon situé dans la Grande Rue du village, acheter par Monsieur Schaller suite au décès de Karl Bodmer mort à Paris lé le 30 octobre 1893 à Paris, mais sur ça demande, il se fera inhumer à Chailly-en-bière avec ces amis les peintres de Barbizon.

  • L’Hôtel Siron ou de l’Exposition

    L’Hôtel Siron devenu Hôtel de l’exposition suite à la visite dans le village de leurs altesses impériales Napoléon III à Barbizon, et de la vues des nombreuses toiles dans l’hôtel Siron prit ce nom. La famille Siron venu s’installer à Barbizon est originaire du département voisin de l’Yonne du village de Thorigny sur Oreuse. le premier Siron est Siron, Ciron, Cÿron l’époque n’a pas encore fixé l’orthographe exacte des noms propres ! Il y a trois acceptions possibles;

    La plus noble est Siron (également connu comme Siro, Syro, Siron l’épicurien ou Syron) était un philosophe épicurien qui vivait à Naples vers 50 av. J.-C. puis Ciron est une commune  située dans le département de l’Indre et enfin Ciron Acarien qui se développe sur la croûte du fromage, du jambon, dans la farine, et qui est le plus petit des animaux visibles à l’œil nu.

    Donc Siron Edmé se mari le 16 juin 1744 avec Pelard ou Plard Anne à Thorigny sur Oreuse il a des enfants, dont Siron Jean Pierre Denis qui nait le 25 Avril 1759 et décède le 29 Avril 1818 à Montigny le Guesdier en Seine et Marne, Jean Pierre Denis Siron se mari le 22 mai 1786 à Thorigny avec Olivier Marie Madeleine, il a deux enfants dont Pierre Honoré qui nait le 11 mai 1799 sa maman décède quelque jours après, le 20 mai. Il épouse une demoiselle Poulain Anne Elisabeth à Montigny le Guesdier le 8 janvier 1824, ils auront des enfants dont notre Siron Emmanuel François né le 22 avril 1831 à cette même commune, on le retrouve en 1856 comme manouvrier à Barbizon avec son frère Honoré Sylvestre, en 1861 il est qualifié de cultivateur alors que son frère est marchand de bois, en 1866 il est devenu marchand de bois, en 1872 restaurateur, en 1876 il est aubergiste, un Siron Célestin est aussi présent comme charretier. Propriétaire en 1881 et 1891, sans profession en 1896 rentier en 1901, avant de décéder en 1902. Quatre enfants naitront du mariage avec Girault Rosalie dont Achille le photographe qui laisse à la postérité un nombres incalculable de carters postales de Barbizon et des communes environnantes du département de Seine et Marne. Son frère Emmanuel qui reprend la gestion de l’hôtel puisqu’en 1881 il est qualifié de restaurateur, en 1888 il est à Vincennes, ainsi qu’en 1896, en 1897 il est de nouveau restaurateur, pour devenir jardinier en 1901 et manouvrier en 1906 à Barbizon .

    Vue de l’hôtel Siron avec la pancarte en ajout peinte au dessus du porche, signalant l’Hôtel de l’Exposition

    photographie de Karl Bodmer prise avant 1890

    Le restaurant semble avoir connu des période de prospérités et de crises, entre 1866 et 1872 l’hôtel est ouvert, en 1876 la situation semble florissante avec la venue de personnels en plus;

    Siron François Emmanuel aubergiste
    Girault Rosalie femme
    Siron Edmond fils
    Siron Emmanuel Achille fils
    Frering Emile petit fils
    Gourdet Hortense domestique
    Mignot Adeline Céline domestique

    en 1881, plus de personnel seul la famille travaille;

    Siron François 51 restaurateur chef de ménage
    Girault Rosalie 51 restaurateur femme
    Siron Edmond 25 restaurateur fils
    Siron Alexandre 21 restaurateur fils
    Siron Emmanuel 15 restaurateur fils
    Girault marie adélaïde 71 propriétaire chef de ménage.

    en 1886 la situation change avec la gestion confié au fils de 25 ans Achille marié qui fait travaillé la famille de sa femme.

    Siron Achille 25 Fr Restaurateur chef de ménage
    Blatrix Louise 22 Fr Sans Profession Femme
    Blatrix Emile 24 Fr cuisinier domestique à gages
    Blatrix Pierre 16 Fr garçon d’hôtel domestique à gages
    Hugonard joseph 24 Fr garçon d’hôtel domestique à gages
    Gastelier louis Victor 54 Fr cultivateur chef de ménage
    Fouché Emilie 44 Fr Sans Profession Femme
    Gastelier Blanche 12 Fr Sans Profession fille
    Siron Emmanuel 54 Fr rentier chef de ménage
    Girault Rosalie 53 Fr Sans Profession Femme
    Fréring Marie 11 Fr Sans Profession petite fille
    Girault Sophie 69 Fr rentière chef de ménage

    En 1891 changement le père reprend la main;

    Siron Emmanuel 60 FR restaurateur Chef
    Girault Rosalie 9 FR sans profession femme
    Siron Emmanuel 7 FR sans profession petit fils
    Siron Alexandre 5 FR sans profession petit fils
    Siron florence 3 FR sans profession petite fille
    Downey Suzanne 27 anglaise sans profession bru
    Gellé augustine 27 FR domestique domestique à gages

    la devanture a été refaite

    en 1896 encore un changement Achille qui était parti gérer un hôtel au Brésil à Rio de Janeiro revient comme cuisinier à l’Hôtel;

    Siron Achille 34 FR cuisinier chef
    weingart Ida Lucie 34 FR S.P. femme FR par mariage
    Siron Emmanuel 65 FR S.P. chef
    Girault rosalie 64 FR S.P. femme

    certainement La veuve Bachelard devant la porte avec son personnel.

    En 1901 le frère revient à Barbizon l’hôtel semble ne plus faire partie des biens de la famille, Achille est photographe son père meurt en 1902, en 1904 il est photographe à Barbizon, c’est la grande époque des Cartes postales jusqu’à la guerre de 14.

    Siron célestin 1841 f chef de ménage charretier Caron veuve
    Siron Emmanuel 1832 f chef de ménage sans pro.
    Siron Alexandre 1887 f petit fils sans pro.
    Siron Achille 1861 f chef de ménage photographe patron
    Siron Emmanuel 1868 Barbizon f chef de ménage jardinier divers
    Siron louise Emma 1897 Vincennes f enfant sans pro.
    Siron Rosalie 1897 Vincennes f enfant sans pro.
    Siron Suzanne 1900 Barbizon f enfant sans pro.

    1906 Siron Emmanuel François le fondateur de l’Hôtel est mort plus rien ne semble rattacher la famille à l’Hôtel de l’Exposition, Achille est partie;

    Siron Rosalie 1897 Vincennes (Seine) F domestique domestique Monsieur Bois
    Siron Rosalie 1832 Chailly-en-bière F Chef de ménage S.P.
    Siron Emmanuel 1868 Barbizon F Chef de ménage manouvrier divers
    Siron Louise 1876 Paris F femme blanchisseuse
    Siron Louise 1897 Vincennes (Seine) F fille S.P.
    Siron Suzanne 1900 Barbizon F fille S.P.
    Siron Emmanuel 1903 Barbizon F fils S.P.
    Siron Germaine 1905 Barbizon F Fille S.P.

    en 1921 ce n’est plus l’hôtel Siron mais le Bas Bréau:

    Gautier Jean Marie 1862 St Chamond (Loire) F chef de ménage jardinier Hôtel du Bas-Bréau
    Guéret Marie 1871 Parthenay(Deux Sèvres) F domestique lingère Hôtel du Bas-Bréau